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Bonjour tout le monde
J'aurais besoin d'aide en français s'il vous plaît
c'est une dissertation sur les fables.

SUJET : Lafontaine s'interroge au début de la fable intitulée << Le pouvoir des fables >> (VIII,4): << La qualité d'ambassadeur/ peut-elle s'abaisser à des contes vulgaires ? >>. On peut prolonger cette interrogation en se demandant dans quelle mesure les fables et autres << contes vulgaires >>, pleins d'imagination, sont efficaces pour offrir au lecteur une pensée sur l'Homme.
Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur les livres VII à XI des fables de Lafontaine, mais aussi sur les autres textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours << imagination et pensée au XVII e siècle >>.
Vous rédigerez une intro une conclusion et un plan détaillé en deux axes avec deux sous-parties.
Merci davance

Sagot :

niogret2m

Réponse :

A quoi servent les fables et les contes : histoires à endormir ou à réveiller ? Plaire simplement ou faire réfléchir?

Fables et contes philosophiques sont des apologues qui , par le biais d'un récit plaisant, cherchent à faire réfléchir.

I. De l'utilité des sujets plaisants dans les fables et les contes.

Le lecteur, tout comme les enfants, aime les histoires. Il s'amuse de voir des animaux qui nous ressemblent. Il suit avec intérêt l'itinéraire de candide. Il  s'intéresse à l'amitié entre Jeannot et Colin. Il rentre dans la fiction avec Micromégas qui découvre l'infiniment petit. L'art du fabuliste, l'art de philosophe donne au récit un tout plaisant. on retient l'histoire, on est distrait  mais l'intérêt va plus loin;

II. De l'utilité de la réflexion

Le fabuliste, par le détour du récit, nous assène des morales bien frappées quand l'argumentation est directe ou facilement déduites quand elle est implicite.  ces morales, en forme de proverbe nous accompagnent parce que "Qui va doucement va loin".  Ainsi donc au récit s'accroche une leçon qu'on n'oublie pas. Pas plus qu'on n'oublie le ridicule de Pangloss qui a l'audace d'affirmer jusqu'au bout que "tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. L'ironie décapante sur l'Inquisition, sur la guerre chez les Bulgares ne manqueront pas de faire réfléchir sur la religion ou la guerre.

Explications :

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