bonsoir
je te donne mon opinion et te laisse le soin de rédiger ton devoir .
Les nouvelles technologies donc internet et tout ce qui en découle ( réseaux sociaux en autres ) présentent des avantages et des inconvénients comme toutes les technologies qui ont vu le jour avant internet .
A mon sens, le plus gros souci est que le net est rempli de prédateurs qui savent se mettre à la portée d'enfants ou d'adolescents et qui finissent par les conduire dans certains cas dans des situations délicates, périlleuses voire dangereuses .
Les ados ne se rendent pas bien compte que n'importe qui peut se cacher derrière un pseudo et leur faire donner des informations privées sans qu'ils s'en rendent même compte .
Je suis pour la censure à certains accès , trop de réseaux sociaux appellent au harcèlement, aux propos diffamatoires, aux mensonges .
Je trouve très bien la mesure qui a consisté à supprimer les téléphones portables au collège , cela laisse du temps aux élèves pour se parler et se connaître, au lieu de passer leur temps sur le téléphone à faire on ne sait quoi
Trop de facilités sont offertes par internet et les ados veulent tout tout de suite et sans se fatiguer , exemple type ici où des élèves ne réfléchissent plus mais se font faire tous leurs devoirs . Ils sont contents sur le moment par flegme mais s'ne mordront les doigts ensuite car, à un moment donné, il faudra produire son travail et non celui des autres .
Je ne suis pas contre le fait que des ados aient accès à Internet qui apporte beaucoup d'informations , d'exercices, de cours etc.. mais je m'insurge contre la facilité que cela a engendré et qui conduit les jeunes à se laisser griller le cerveau petit à petit par le tout fait .
Donc oui , moins d'accès laisserait du temps à la réflexion personnelle, permettrait de mieux se connaître soi même et de s'intéresser davantage à ce et ceux qui les entourent .
Rien ne me fait plus rire que de voir 5 ados dans un café, à priori des copains, qui ne se regardent même pas et ont chacun la tête penchée sur leur téléphone .
