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Sagot :
A Quelle relation le personnage entretient-il avec son cheval (domination ou
soumission) ? Appuyez- vous sur des indices précis.
La relation est une relation d'adhésion et éventuellement soumission. Mais il ne domine pas le cheval : le cheval est à l'écoute et dévoué. Cela n'induit pas de relation de force, mais plus une relation de soumission du cheval à son maître dans le sens d'une acceptation dans la confiance, donc d'une adhésion.
CRITERES :
"et ses heureuses proportions ne ressortaient jamais mieux que quand il employait
sa force à gouverner son cheval dont le dos élégant et souple paraissait plier sous lui":
Le cavalier déploie de la force pour gouverner son cheval mais ce dernier ne semble que paraître ployer sous lui : le cheval est plus puissant que son cavalier et s'il ploie, c'est parce qu'il adhère à ce que son cavalier lui demande.
"Le cheval trempé de sueur, et dont la tête agitée exprimait une extrême impatience, les deux pieds de devant écartés et arrêtés sur une même ligne sans que l’un dépassât l’autre, faisait flotter les longs crins de sa queue fournie..." : le cheval exprime la même énergie que son maître avec le même panache et la même fierté.
Là aussi, il y a une idée d'adhésion aux principes du maître.
b) avec quelle autre relation le rapport du cheval et du personnage, peut-il être mis en parallèle ?
"et son dévouement offrait une matérielle image de celui que son maître avait pour l’empereur" : il y a identification du dévouement de l'animal pour son maître, aux dévouement du maître du cheval pour son empereur Napoléon.
8) l’image du personnage vue de près confirme-t-elle celle de vue de loin ? Appuyez- vous sur l’ensemble de vos réponses.
Non, finalement, le colonel dans sa superbe et dans le déploiement de ses capacités est soumis à son maître, l'Empereur Napoléon, tout comme son cheval, puissant et impatient, est soumis à l'autorité de son maître, le colonel.
Alors que vus de loin, cheval et maître semblaient n'être que des "électrons libres" de puissance, d'énergie et d'impatience.
soumission) ? Appuyez- vous sur des indices précis.
La relation est une relation d'adhésion et éventuellement soumission. Mais il ne domine pas le cheval : le cheval est à l'écoute et dévoué. Cela n'induit pas de relation de force, mais plus une relation de soumission du cheval à son maître dans le sens d'une acceptation dans la confiance, donc d'une adhésion.
CRITERES :
"et ses heureuses proportions ne ressortaient jamais mieux que quand il employait
sa force à gouverner son cheval dont le dos élégant et souple paraissait plier sous lui":
Le cavalier déploie de la force pour gouverner son cheval mais ce dernier ne semble que paraître ployer sous lui : le cheval est plus puissant que son cavalier et s'il ploie, c'est parce qu'il adhère à ce que son cavalier lui demande.
"Le cheval trempé de sueur, et dont la tête agitée exprimait une extrême impatience, les deux pieds de devant écartés et arrêtés sur une même ligne sans que l’un dépassât l’autre, faisait flotter les longs crins de sa queue fournie..." : le cheval exprime la même énergie que son maître avec le même panache et la même fierté.
Là aussi, il y a une idée d'adhésion aux principes du maître.
b) avec quelle autre relation le rapport du cheval et du personnage, peut-il être mis en parallèle ?
"et son dévouement offrait une matérielle image de celui que son maître avait pour l’empereur" : il y a identification du dévouement de l'animal pour son maître, aux dévouement du maître du cheval pour son empereur Napoléon.
8) l’image du personnage vue de près confirme-t-elle celle de vue de loin ? Appuyez- vous sur l’ensemble de vos réponses.
Non, finalement, le colonel dans sa superbe et dans le déploiement de ses capacités est soumis à son maître, l'Empereur Napoléon, tout comme son cheval, puissant et impatient, est soumis à l'autorité de son maître, le colonel.
Alors que vus de loin, cheval et maître semblaient n'être que des "électrons libres" de puissance, d'énergie et d'impatience.
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