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Sagot :
Petite idée :
Intro : Cette guerre que tout le monde imaginez fort courte se révélée en réalité être une des pires batailles que notre pays eu jamais connu, nous étions en 1916, et les deux principaux pays au cœur même de la bataille voyait leu armée respective perdre patience devant cette guerre qui paraissait sans fin, tout avait commencé en 1914 avec l’assassinat d'un duc quelconque d'Autriche, nous n'avions rien demandé, et pourtant je me retrouvé là au milieu de villes réduites en cendre, de corps calcinés a essayer de viser des hommes qui tout comme moi ne désirait pas cette affrontement ...
Paragraphe 1 :
Ici, les conditions de vie sont difficiles, nous vivons au milieu de la boue, sous un pluie battante en cet hiver de 1916, la faim nous tiraillait et la soif qui était plus grande encore. Mais nous n'avions aucunement le temps de songer à cela, nous nous concentrions plutôt sur nos "cibles", tout en essayant tant bien que mal d'éviter les obus. Beaucoup de mes camarades tentaient de déserter le camp où nous étions installés, les plus chanceux évitaient les balles ennemies et pouvaient se réfugier dans la forêt mais arriver à cet endroit, un autre régiment français avait pour ordre d'abattre les déserteurs sans états d'âme. ( continuer à décrire l'horreur des camps de batailles, la peur des proches ne pouvant pas recevoir de lettre de la part des soldats ...)
Paragraphe 2:
Puis vint enfin la nuit du 24 au 25 décembre, et là quelque chose d'incroyable se produisit, les deux troupes ennemies allemandes et françaises se réunir autour d'un grand brasier, on fit cuir quelques animaux trouvés dans la forêt proche et finîmes les vivres qui avaient été apportés la semaine précédente de la part de notre patrie. Tous le monde discuter, essayer de se comprendre, une sorte de fraternité et de compassion s'étaient crées dans le groupe, après tout que nous avez fait ces hommes, il n'étaient en rien différent de nous, ils avaient juste été enrollés dans l'armée. Le festin était somptueux en comparaison avec les repas habituel de nous autres soldat (décrire un peu le repas). Mais à peine l'aube se pointa que cette bonne ambiance commença à se ternir, bientôt, nous devrons retournés derrière nous fusils et nous assassinés les uns les autres ( décrire l'ambiance, les regards fuyants, les soldats à moitié endormir sur le sol froid du champ de bataille)
Paragraphe 3:
Peu à peu chaque soldat regagnés sont camp seul un petit groupe dont je commençais à m'éloigner composé à la fois de français et d'allemand marchait à travers le champ de bataille en discutant, profitant de cette accalmie avant la reprise des hostilités. Je retournais une dernière fois vers ce groupe si insolite quand soudain, j'aperçus un petit reflet du soleil naissant sur le sol, là ou passerais le petit groupe quelques secondes après. Je me demandais rapidement ce que pouvais être ce reflet qui attirait tellement l’œil? Puis soudain, je me souvins d'un conseil donné par mon général qui disait : "qu'une bombe enfouie sous terre n'avait rien d'incroyable,il suffisait juste de savoir la repérer" ! Oui, c'était donc cela, une bombe, en ce matin de noël, une bombe allait tous les tuer, sans réfléchir, je me mis à crier, je courus vers eux en continuant à hurler ! Je commençais à désespérer quand un soldat allemand de petite taille se retourna mais ne comprenait visiblement rien à ce que je disais. Il interpella alors un autre membre du groupe, français celui là ! ( dire qu'il réussisse à s'arreter à temps, comprenant rapidement que cette inattention aurait ou leu coûter la vie , ...)
Conclu:
De retour dans mon pays, quelques jours plus tard, je ne l'attendais à aucune célébration, mais les représentant des deux pays , mettant leur différents de ôté) vinrent me remercier de ce geste qui leur avait permit d'épargner des soldats. (description de la fête) A la fin de la cérémonie, il me demandèrent qu'elle faveur me ferait plaisir, je n'eu qu'une seule chose en tête et je n'hésita pas à la demander. Si bien que la guerre continua mais "la bataille du réveillon" comme nous l'avions surnommée fut stoppée. Certains soldats allemands devinrent même mes amis et personnes n'y trouva rien à redire même après des années. Tout de même, quel drôle de noël que celui de 1916 !
Il reste des trucs a rajouter, c'est juste une idée, j'espère que ca taura au moins donner une idée pour ton travail !
Intro : Cette guerre que tout le monde imaginez fort courte se révélée en réalité être une des pires batailles que notre pays eu jamais connu, nous étions en 1916, et les deux principaux pays au cœur même de la bataille voyait leu armée respective perdre patience devant cette guerre qui paraissait sans fin, tout avait commencé en 1914 avec l’assassinat d'un duc quelconque d'Autriche, nous n'avions rien demandé, et pourtant je me retrouvé là au milieu de villes réduites en cendre, de corps calcinés a essayer de viser des hommes qui tout comme moi ne désirait pas cette affrontement ...
Paragraphe 1 :
Ici, les conditions de vie sont difficiles, nous vivons au milieu de la boue, sous un pluie battante en cet hiver de 1916, la faim nous tiraillait et la soif qui était plus grande encore. Mais nous n'avions aucunement le temps de songer à cela, nous nous concentrions plutôt sur nos "cibles", tout en essayant tant bien que mal d'éviter les obus. Beaucoup de mes camarades tentaient de déserter le camp où nous étions installés, les plus chanceux évitaient les balles ennemies et pouvaient se réfugier dans la forêt mais arriver à cet endroit, un autre régiment français avait pour ordre d'abattre les déserteurs sans états d'âme. ( continuer à décrire l'horreur des camps de batailles, la peur des proches ne pouvant pas recevoir de lettre de la part des soldats ...)
Paragraphe 2:
Puis vint enfin la nuit du 24 au 25 décembre, et là quelque chose d'incroyable se produisit, les deux troupes ennemies allemandes et françaises se réunir autour d'un grand brasier, on fit cuir quelques animaux trouvés dans la forêt proche et finîmes les vivres qui avaient été apportés la semaine précédente de la part de notre patrie. Tous le monde discuter, essayer de se comprendre, une sorte de fraternité et de compassion s'étaient crées dans le groupe, après tout que nous avez fait ces hommes, il n'étaient en rien différent de nous, ils avaient juste été enrollés dans l'armée. Le festin était somptueux en comparaison avec les repas habituel de nous autres soldat (décrire un peu le repas). Mais à peine l'aube se pointa que cette bonne ambiance commença à se ternir, bientôt, nous devrons retournés derrière nous fusils et nous assassinés les uns les autres ( décrire l'ambiance, les regards fuyants, les soldats à moitié endormir sur le sol froid du champ de bataille)
Paragraphe 3:
Peu à peu chaque soldat regagnés sont camp seul un petit groupe dont je commençais à m'éloigner composé à la fois de français et d'allemand marchait à travers le champ de bataille en discutant, profitant de cette accalmie avant la reprise des hostilités. Je retournais une dernière fois vers ce groupe si insolite quand soudain, j'aperçus un petit reflet du soleil naissant sur le sol, là ou passerais le petit groupe quelques secondes après. Je me demandais rapidement ce que pouvais être ce reflet qui attirait tellement l’œil? Puis soudain, je me souvins d'un conseil donné par mon général qui disait : "qu'une bombe enfouie sous terre n'avait rien d'incroyable,il suffisait juste de savoir la repérer" ! Oui, c'était donc cela, une bombe, en ce matin de noël, une bombe allait tous les tuer, sans réfléchir, je me mis à crier, je courus vers eux en continuant à hurler ! Je commençais à désespérer quand un soldat allemand de petite taille se retourna mais ne comprenait visiblement rien à ce que je disais. Il interpella alors un autre membre du groupe, français celui là ! ( dire qu'il réussisse à s'arreter à temps, comprenant rapidement que cette inattention aurait ou leu coûter la vie , ...)
Conclu:
De retour dans mon pays, quelques jours plus tard, je ne l'attendais à aucune célébration, mais les représentant des deux pays , mettant leur différents de ôté) vinrent me remercier de ce geste qui leur avait permit d'épargner des soldats. (description de la fête) A la fin de la cérémonie, il me demandèrent qu'elle faveur me ferait plaisir, je n'eu qu'une seule chose en tête et je n'hésita pas à la demander. Si bien que la guerre continua mais "la bataille du réveillon" comme nous l'avions surnommée fut stoppée. Certains soldats allemands devinrent même mes amis et personnes n'y trouva rien à redire même après des années. Tout de même, quel drôle de noël que celui de 1916 !
Il reste des trucs a rajouter, c'est juste une idée, j'espère que ca taura au moins donner une idée pour ton travail !
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