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Sagot :
Qu'entend-on par aléas naturels? Ce peut-être des ouragans, tsunamis, pluies intenses causant des inondations ,débordements de cours d'eau etc. On imagine bien que la population exposée à ces phénomènes est par nature exposée à un risque létal (de mort) aggravé.
Mais les conséquences de ces phénomènes sont d'une autre nature pour les survivants.
La survenue de catastrophes naturelles entraîne la concentration de la population dans des camps de réfugiés, eux-mêmes propices à l'apparition et à la transmission de maladies ravageuses telles que le choléra pour n'en citer qu'une.
La qualité de l'eau est également directement mise en cause par l'apparition de boues et de cadavres putrides en amont des sources habituelles de distribution d'eau; or, l'eau est un élément vital qui, s'il est pollué, devient un instrument de maladie et de mort.
De même, l'altération et la coupure des réseaux électriques altèrent la qualité des secours ( blocs opératoires, soins aux survivants) et détériorent les conditions sanitaires en général ( maintien du froid, préservation des aliments et aussi ...de la décomposition des cadavres).
Mais le risque identifié comme le plus impactant à moyen terme est la pénurie alimentaire, causée par la destruction de plantations, de cultures et de récoltes dans certaines régions de l'île d'une part, et d'autre part la difficulté d'acheminer des secours dans les zones rurales tant que les infrastructures routières sont inopérantes.
En conclusion, on le voit, les aléas naturels auxquels Haïti est exposée ont des répercussions à des niveaux très variés. C'est une course contre la montre qui débute après chaque catastrophe pour en gérer les multiples facteurs qui en découlent.
Et c'est aussi l'aggravation de la pauvreté d'une population déjà très précaire.
Mais les conséquences de ces phénomènes sont d'une autre nature pour les survivants.
La survenue de catastrophes naturelles entraîne la concentration de la population dans des camps de réfugiés, eux-mêmes propices à l'apparition et à la transmission de maladies ravageuses telles que le choléra pour n'en citer qu'une.
La qualité de l'eau est également directement mise en cause par l'apparition de boues et de cadavres putrides en amont des sources habituelles de distribution d'eau; or, l'eau est un élément vital qui, s'il est pollué, devient un instrument de maladie et de mort.
De même, l'altération et la coupure des réseaux électriques altèrent la qualité des secours ( blocs opératoires, soins aux survivants) et détériorent les conditions sanitaires en général ( maintien du froid, préservation des aliments et aussi ...de la décomposition des cadavres).
Mais le risque identifié comme le plus impactant à moyen terme est la pénurie alimentaire, causée par la destruction de plantations, de cultures et de récoltes dans certaines régions de l'île d'une part, et d'autre part la difficulté d'acheminer des secours dans les zones rurales tant que les infrastructures routières sont inopérantes.
En conclusion, on le voit, les aléas naturels auxquels Haïti est exposée ont des répercussions à des niveaux très variés. C'est une course contre la montre qui débute après chaque catastrophe pour en gérer les multiples facteurs qui en découlent.
Et c'est aussi l'aggravation de la pauvreté d'une population déjà très précaire.
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