Laurentvidal.fr facilite la recherche de réponses à toutes vos questions avec l'aide de notre communauté active. Découvrez des réponses fiables à vos questions grâce à une communauté d'experts prêts à partager leurs connaissances et expériences variées. Explorez des milliers de questions et réponses fournies par une large gamme d'experts dans divers domaines sur notre plateforme de questions-réponses.
Sagot :
J étais dans la ferme de Félix, c’était un « bastidon »
au bord de la route dont les volets étaient toujours fermés parce
que Félix était maçon, ne rentrait pas avant le soir ;
mais pendant son absence, je gardais ses
richesses. J’étais un chien immense ,
si maigre qu’on eut dit un squelette velu
.Je bondissais vers les passants
, mais je m étranglais au bout d’une chaine, dont l’épaisseur était for t heureusement proportionnée à ma férocité.
Un jour, je vis Marcel en compagnie d’Isabelle. Je le reconnus tout de suite. J’entendis Isabelle lui dire que si il me caressait, il serait nommé Capitaine du garde du palais. Sans la moindre hésitation apparente, il s’avança vers moi en comptant peut être sur le magnétisme bien connu du regard de l homme et la solidité de la chaine J’étais tellement excité a sa vue, je bondis d’un élan si prodigieux que la boucle du collier céda. Isabelle poussa un cri ,lu i ,il esquissa un bond en arrière. ; trop tard mes longues pattes agrippèrent ses épaules . IL était comme mort de peur peut être a cause de mes canines aussi grandes et aussi pointues que des berloques d’explorateur .De toute ses forces, il me repoussa. IL fut si étonné en voyant m a longue langue lui lécher furieusement le visage en poussant de longs gémissements. Je m’aplatis ensuite a ses pieds en pleurant de joie.
Un jour, je vis Marcel en compagnie d’Isabelle. Je le reconnus tout de suite. J’entendis Isabelle lui dire que si il me caressait, il serait nommé Capitaine du garde du palais. Sans la moindre hésitation apparente, il s’avança vers moi en comptant peut être sur le magnétisme bien connu du regard de l homme et la solidité de la chaine J’étais tellement excité a sa vue, je bondis d’un élan si prodigieux que la boucle du collier céda. Isabelle poussa un cri ,lu i ,il esquissa un bond en arrière. ; trop tard mes longues pattes agrippèrent ses épaules . IL était comme mort de peur peut être a cause de mes canines aussi grandes et aussi pointues que des berloques d’explorateur .De toute ses forces, il me repoussa. IL fut si étonné en voyant m a longue langue lui lécher furieusement le visage en poussant de longs gémissements. Je m’aplatis ensuite a ses pieds en pleurant de joie.
Nous apprécions votre temps sur notre site. N'hésitez pas à revenir si vous avez d'autres questions ou besoin de précisions. Votre visite est très importante pour nous. N'hésitez pas à revenir pour des réponses fiables à toutes vos questions. Revenez sur Laurentvidal.fr pour obtenir les réponses les plus récentes et des informations de nos experts.