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Sagot :
Je regardais autour de moi et poussait un soupir : cette maison avait grand besoin d'un peu de ménage. Je pris une pile de papier chancelante et m'apprêtais à la déplacer lorsqu'un petit livret noir et poussiéreux tomba au sol. Je reposai avec peine les documents et attrapai ce que je pensait être un ancien agenda ou carnet de compte mais je me rendis compte qu'il ne s'agissait ni de l'un, ni de l'autre, mais d'un album de photographies.
Intriguée, je le feuilletais et découvris les photos de mon enfance. On me voyait avec mes parents, mes oncles, mes tantes... Soudain, je m'arrêtait sur l'une de ces images.
On m'y voyait, alors que j'avais 5 ans, avec une autre petite fille qui devait être mon aînée de deux ou trois ans. Nous étions toutes les deux dans de ravissantes robes à dentelle, dans un jardin. On pouvait voir en arrière plan une corde à sauter qui traînait par terre, ainsi que deux poupées de chiffon, un sourire figé sur leurs lèvres, abandonnées près d'une balançoire. Je fouillai dans ma mémoire et me rappelai enfin de la scène...
-Océane ! Viens ! Devine qui est là ?
Je courais en direction de ma mère et vis mon oncle accompagnée de sa femme et d'une fillette que je reconnus comme Emilie, ma cousine.
-Emilie !
Et je la serrai contre moi. Elle répondis en riant à mon étreinte.
-Tu viens on va jouer !
Je la pris par la main et la menait vers ma chambre. Ah, mon cher univers composé de jouets avec lesquels je m'inventais des histoires !
Je m'asseyais par terre et invitais ma cousine à en faire de même. Je saisissais alors deux toupies, et toutes les deux nous les faisions tourner en tâchant de deviner laquelle tiendra le plus longtemps. Nous finîmes vite par nous lasser et, prenant deux poupées, nous commencions à jouer des scènes avec les divers éléments éparpillés dans la pièce.
-Voulez-vous un peu de pain, Mlle Joyaux ?
-Bien volontiers, Mme De Chateauroux.
Et autres scènes de la vie quotidienne que nous reproduisions, inconsciemment, en prenant modèle sur nos mère.
Puis nous relevant, nous courûmes dehors et je lui prêtais une de mes cordes à sauter. Nous nous précipitâmes ensuite vers l'unique balançoire et une dispute éclata ayant pour objet l'ordre de passage. Mais nos mère tâchèrent d'y mettre fin en nous demandant de poser pour une photographie. Mon oncle, le père d'Emilie, prit un antique appareil et, le flash surgit, nous éblouissant.
Je remettais en souriant la photo entre les page de l'album et me promit d'appeler Emilie ces jours prochain.
FIN !
Intriguée, je le feuilletais et découvris les photos de mon enfance. On me voyait avec mes parents, mes oncles, mes tantes... Soudain, je m'arrêtait sur l'une de ces images.
On m'y voyait, alors que j'avais 5 ans, avec une autre petite fille qui devait être mon aînée de deux ou trois ans. Nous étions toutes les deux dans de ravissantes robes à dentelle, dans un jardin. On pouvait voir en arrière plan une corde à sauter qui traînait par terre, ainsi que deux poupées de chiffon, un sourire figé sur leurs lèvres, abandonnées près d'une balançoire. Je fouillai dans ma mémoire et me rappelai enfin de la scène...
-Océane ! Viens ! Devine qui est là ?
Je courais en direction de ma mère et vis mon oncle accompagnée de sa femme et d'une fillette que je reconnus comme Emilie, ma cousine.
-Emilie !
Et je la serrai contre moi. Elle répondis en riant à mon étreinte.
-Tu viens on va jouer !
Je la pris par la main et la menait vers ma chambre. Ah, mon cher univers composé de jouets avec lesquels je m'inventais des histoires !
Je m'asseyais par terre et invitais ma cousine à en faire de même. Je saisissais alors deux toupies, et toutes les deux nous les faisions tourner en tâchant de deviner laquelle tiendra le plus longtemps. Nous finîmes vite par nous lasser et, prenant deux poupées, nous commencions à jouer des scènes avec les divers éléments éparpillés dans la pièce.
-Voulez-vous un peu de pain, Mlle Joyaux ?
-Bien volontiers, Mme De Chateauroux.
Et autres scènes de la vie quotidienne que nous reproduisions, inconsciemment, en prenant modèle sur nos mère.
Puis nous relevant, nous courûmes dehors et je lui prêtais une de mes cordes à sauter. Nous nous précipitâmes ensuite vers l'unique balançoire et une dispute éclata ayant pour objet l'ordre de passage. Mais nos mère tâchèrent d'y mettre fin en nous demandant de poser pour une photographie. Mon oncle, le père d'Emilie, prit un antique appareil et, le flash surgit, nous éblouissant.
Je remettais en souriant la photo entre les page de l'album et me promit d'appeler Emilie ces jours prochain.
FIN !
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