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Sagot :
A la fin de l'œuvre, l'attachement à la vie de l'étranger est plus conscient, et et s'assimile à un bonheur possible. A la suite de son petit
somme, il redécouvre une nature différente, je cite : « des bruits de
campagne », « des odeurs de nuit, de terre et de sel », « comme une
marée », « nuit chargée de signes et d’étoiles ».
Il se sent bien dans ce monde et trouve qu'il en fait partie intégrante. Ainsi il utilise des métaphores sur lui telles que : les odeurs « rafraîchissaient [ses] tempes », « les étoiles sur [son] visage », la nuit qui « entrait en [lui] comme une marée ».
Au centre de la nature, tous ses sens sont là et s'entremêlent.
C'est alors que Meursault se retrouve lié charnellement et sensuellement au monde extérieur : « de l’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin ».
Meursault donne de l'importance à l'instant du moment, et il dit : « j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore ». Il se rapproche doucement de la victoire des sens.
C'est le moment de partir car il est fin près, conscient de la suite mais si calme paradoxalement, si proche de la nature et si loin des hommes.
Il se sent bien dans ce monde et trouve qu'il en fait partie intégrante. Ainsi il utilise des métaphores sur lui telles que : les odeurs « rafraîchissaient [ses] tempes », « les étoiles sur [son] visage », la nuit qui « entrait en [lui] comme une marée ».
Au centre de la nature, tous ses sens sont là et s'entremêlent.
C'est alors que Meursault se retrouve lié charnellement et sensuellement au monde extérieur : « de l’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin ».
Meursault donne de l'importance à l'instant du moment, et il dit : « j’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore ». Il se rapproche doucement de la victoire des sens.
C'est le moment de partir car il est fin près, conscient de la suite mais si calme paradoxalement, si proche de la nature et si loin des hommes.
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