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inventer la suite du texte ! ( veillez garder la coherence avec le texte d'origine en tenant compte du contexte et l'etat d'esprit des soldats .Ce fut une curieuse épidémie d’ordre mental, comme il doit s’en produire à bord d’un radeau de naufragés quand l’un après l’autre les rescapés se laissent glisser à l’eau beaucoup plus par lassitude et vanité d’espérer qu’épuisés par les privations et les souffrances endurées. On aurait encore les forces nécessaires pour supporter de nouvelles et de nouvelles misères, mais on n’a plus la patience d’attendre. À quoi bon ? One a peur du lendemain. Cet inconnu épouvante. Alors, on se fie aux requins. Il suffit qu’un premier donne l’exemple, se laisse aller, coule à l’eau, pour que les autres suivent. Dans mon groupe, le premier à disparaître fut Sawo. C’était le plus hardi, un petit gars que j’aimais tout particulièrement. Un beau matin il fut porté disparu.


Sagot :

Cela me fît de la peine de savoir que de plus en plus de soldats se laissent envahir par l'idée de ne plus souffrir en s'offrant à la mort. Je ne sais pas pourquoi alors que nous arrivions bientôt sur une terre ferme. Certains restaient en vie pour leur famille qui les attend avec espoir qu'il reviennent en vie. Un moment je me demandais moi aussi si je ne devais pas m'offrir aux requins. J'avais un enfant et une épouse qui attendaient mon retour. Mais j'en avait assez de souffrir. Vais-je céder demain? Après-demain? Pour éviter ceci, je resta dans la cale afin d'éviter tout contact avec le bord du bateau. Pendant ce temps, je me demandais si cette épidémie n'était pas à cause de l'aire marin. Nous traversions le Triangle Des Bermudes et tout le monde disait que traverser ce territoire portait malheur.

-Vous ne resortirez jamais vivant! Contournez le! disaient les anciens marins

Mais notre capitaine affirmait que c'était le chemin le plus court....

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