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Sagot :
En 1831 paraît le premier recueil de nouvelles de Maupassant appelé "La maison Tellier". "Une journée à la campagne " en fait partie.
L'incipit étudié narre le voyage de Paris vers Bezons de la famille Dufour. On découvre l'itinéraire et les paysages avec les protagonistes de l'histoire, mais on sent que l'auteur connaît parfaitement le cadre de l'histoire et ses détails.
L'organisation du voyage, le trajet sont typiques de la famille bourgeoise ; l'auteur porte d'ailleurs un regard péjoratif sur cette famille, met l'accent sur un certain ridicule et ironise sur le comportement de madame Dufour.
On peut distinguer une dépréciation du paysage de banlieue : « On eût dit qu’une lèpre l’avait ravagée, qui rongeait jusqu’aux maisons, car des squelettes de bâtiments défoncés et abandonnés, ou bien des petites cabanes inachevées faute de paiement aux entrepreneurs, tendaient leurs quatre murs sans toit. De loin en loin, poussaient dans le sol stérile de longues cheminées de fabriques, seule végétation de ces champs putrides où la brise du printemps promenait un parfum de pétrole et de schiste mêlé à une autre odeur moins agréable encore. » Maupassant utilise un champ lexical de la saleté.
Enfin, le texte est du type narratif et descriptif.
L'incipit étudié narre le voyage de Paris vers Bezons de la famille Dufour. On découvre l'itinéraire et les paysages avec les protagonistes de l'histoire, mais on sent que l'auteur connaît parfaitement le cadre de l'histoire et ses détails.
L'organisation du voyage, le trajet sont typiques de la famille bourgeoise ; l'auteur porte d'ailleurs un regard péjoratif sur cette famille, met l'accent sur un certain ridicule et ironise sur le comportement de madame Dufour.
On peut distinguer une dépréciation du paysage de banlieue : « On eût dit qu’une lèpre l’avait ravagée, qui rongeait jusqu’aux maisons, car des squelettes de bâtiments défoncés et abandonnés, ou bien des petites cabanes inachevées faute de paiement aux entrepreneurs, tendaient leurs quatre murs sans toit. De loin en loin, poussaient dans le sol stérile de longues cheminées de fabriques, seule végétation de ces champs putrides où la brise du printemps promenait un parfum de pétrole et de schiste mêlé à une autre odeur moins agréable encore. » Maupassant utilise un champ lexical de la saleté.
Enfin, le texte est du type narratif et descriptif.
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