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Sagot :
Tu peux parler d'une croisière ou le personnage s'imagine qu'il est sur un bateau pirate et il intègre les pirates. Tu peux lui inventer toutes sorte d'aventure.
Le jour de mes cinq ans, j'eus l'autorisation de papy de vagabonder seul dans son jardin. Cela peut sembler bien petit, mais il n'en était rien : ledit jardin était immense, comportait bien des recoins encore inexplorés par moi et surtout, était traversé dans le fond par un petit ru dont je n'avais entendu que parler.
Dans sa première partie, ce grand jardin était bien domestiqué et un potager y faisait la fierté de mon aïeul. On y trouvait un peu de tout, artistiquement disposé et entremêlé de passages en dalles de pierre. Je le connaissais par cœur à force de l'avoir arpenté avec mon papy.
La seconde partie, je la connaissais aussi : il y avait des arbustes fruitiers alternés par des massifs de fleurs amoureusement entretenus par mon grand-père.
Le reste, en revanche, m'avait toujours été interdit et pour la première fois, je pouvais aller l'inspecter. Ici, la nature reprenait ses droits et je devais me frayer un chemin parmi des herbes et des fleurs aussi hautes que moi.
Je ne me décourageai pas pur autant et arrivai au bout d'un certain moment à la limite du jardin : le fameux petit ru dont j'avais tant entendu parler s'écoulait bien là, entouré d'herbes, de roseaux et gougloutant sur un fond sablonneux. Pour moi, c'était magique; c'était le départ de nouvelles aventures. Un arbre du verger s'épanouissait juste à côté et je retournai en courant à la maison pour demander à papy si l'on pouvait y construire une cabane. Il accepta et ce fut sans conteste mon plus beau souvenir d'enfance.
Dans sa première partie, ce grand jardin était bien domestiqué et un potager y faisait la fierté de mon aïeul. On y trouvait un peu de tout, artistiquement disposé et entremêlé de passages en dalles de pierre. Je le connaissais par cœur à force de l'avoir arpenté avec mon papy.
La seconde partie, je la connaissais aussi : il y avait des arbustes fruitiers alternés par des massifs de fleurs amoureusement entretenus par mon grand-père.
Le reste, en revanche, m'avait toujours été interdit et pour la première fois, je pouvais aller l'inspecter. Ici, la nature reprenait ses droits et je devais me frayer un chemin parmi des herbes et des fleurs aussi hautes que moi.
Je ne me décourageai pas pur autant et arrivai au bout d'un certain moment à la limite du jardin : le fameux petit ru dont j'avais tant entendu parler s'écoulait bien là, entouré d'herbes, de roseaux et gougloutant sur un fond sablonneux. Pour moi, c'était magique; c'était le départ de nouvelles aventures. Un arbre du verger s'épanouissait juste à côté et je retournai en courant à la maison pour demander à papy si l'on pouvait y construire une cabane. Il accepta et ce fut sans conteste mon plus beau souvenir d'enfance.
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