Laurentvidal.fr vous aide à trouver des réponses précises à toutes vos questions grâce à une communauté d'experts chevronnés. Découvrez des réponses complètes à vos questions grâce à des professionnels expérimentés sur notre plateforme conviviale. Expérimentez la commodité de trouver des réponses précises à vos questions grâce à une communauté dévouée d'experts.
Sagot :
voici ce que je note sur chaque texte et les jeunes filles, un résumé de toutes les descriptions
Texte A : Madame de Lafayette, La princesse de Clèves (1678)
Beauté, éducation, vertu, esprit , blancheur du teint, fidélité, tous ses traits étaient réguliers, et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes
Texte B : Victor Hugo, Les Misérables (1862)
Créature, hâve, chétive, décharnée, épaules pointues, pâleur blonde et lymphatique, clavicules terreuses, mains rouges, bouche dégradées, dents de moins, œil terne, genoux maigres, regard d’une vieille femme, avec une sorte d’assurance
Texte C : Marcel Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleurs (1919)
en riant, exubérantes, une figure poupine deux yeux verts, gaieté, un peu de timidité piaillant, comme des oiseaux
On peut dire que dans ces trois textes, deux surtout se ressemblent un peu, le texte A et le texte c ;
Dans ces 2 textes , on peut trouver comme ressemblance: beauté, éducation, charmes , grâce, gaieté
Ce qu’il y a comme différence c’est tout ce qui se rapporte au texte des misérables avec la description de la jeune fille qui n’est pas du tout en rapport avec les deux autres textes, comme tu le vois rien de très gai dans cette description, contrairement aux autres textes cela ne donne pas l'envie de connaitre cette jeune femme.Il y a quelque chose qui peut tout de même se rapporter au texte C quand il est dit dans le texte B une sorte d’assurance ce que les jeunes filles en fleurs ont à mon avis.
On peut noter aussi que la blancheur est vue d'une manière positive dans le texte a alors que dans le texte b, c'est plutôt négatif.
voilà pour t'aider
Texte A : Madame de Lafayette, La princesse de Clèves (1678)
Beauté, éducation, vertu, esprit , blancheur du teint, fidélité, tous ses traits étaient réguliers, et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes
Texte B : Victor Hugo, Les Misérables (1862)
Créature, hâve, chétive, décharnée, épaules pointues, pâleur blonde et lymphatique, clavicules terreuses, mains rouges, bouche dégradées, dents de moins, œil terne, genoux maigres, regard d’une vieille femme, avec une sorte d’assurance
Texte C : Marcel Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleurs (1919)
en riant, exubérantes, une figure poupine deux yeux verts, gaieté, un peu de timidité piaillant, comme des oiseaux
On peut dire que dans ces trois textes, deux surtout se ressemblent un peu, le texte A et le texte c ;
Dans ces 2 textes , on peut trouver comme ressemblance: beauté, éducation, charmes , grâce, gaieté
Ce qu’il y a comme différence c’est tout ce qui se rapporte au texte des misérables avec la description de la jeune fille qui n’est pas du tout en rapport avec les deux autres textes, comme tu le vois rien de très gai dans cette description, contrairement aux autres textes cela ne donne pas l'envie de connaitre cette jeune femme.Il y a quelque chose qui peut tout de même se rapporter au texte C quand il est dit dans le texte B une sorte d’assurance ce que les jeunes filles en fleurs ont à mon avis.
On peut noter aussi que la blancheur est vue d'une manière positive dans le texte a alors que dans le texte b, c'est plutôt négatif.
voilà pour t'aider
Merci d'utiliser notre plateforme. Nous sommes toujours là pour fournir des réponses précises et à jour à toutes vos questions. Merci d'utiliser notre plateforme. Nous nous efforçons de fournir des réponses précises et à jour à toutes vos questions. Revenez bientôt. Visitez toujours Laurentvidal.fr pour obtenir de nouvelles et fiables réponses de nos experts.