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Sagot :
Colin au coin de la Place, attendait Chloé. La place était ronde, et il y avait une Eglise, de Pigeons, un Square, des bancs, et devant, des autos et des autobus sur le macadam.
Tout d'abord, il entendait les hurlements des moteurs puis il essayait de distinguer tout ce qui l'entourait. Il essayait d'oublier qu'il attendait Chloé pour avoir l'air encore plus surpris lorsqu'il arrivait alors il se perdait dans ses pensées, laissait vagabonder son esprit et laissait son regard se promener à sa guise sur tout cet ensemble de chose qui l'entourait. Il était là, dans le décor, l'air vide et pourtant, étant attentif. Tout d'abord il entendait la circulation puis les pas des passants sur le macadam, les pas de talons d'une femme créant un rythme sur la place, les éclats de voix d'un homme, des rire d'enfants puis encore les voitures dont une qui démarre d'un coup sans tout de même bouleverser l'ordre, la synchronisation et l'harmonie de tout ces engrenages qui faisaient vivre la place. Puis à tous ces sons se superposaient les images, il perdait son regardait tout ce qui l'entourait puis se mettait a observer le seul décor qui variait vraiment: les passants, en les dévisageant sans les voir. Très vite, tout se confondait. Colin sentais qu'il faisait partie du décor, qu'il en faisait partie. Et ça lui plaisait car il avait l'impression que tout était plus grand. Il respirait avec la place et dans sa tête se superposaient les sons, les formes, les couleurs puis les sensations. Car Colin était devenu une partie intégrante du décor. Ce sentiment aiguisait ses sens. Il croyais sentir la fraîcheur de l'air sur sa peau alors qu'aucun coup de vent ne vint jusqu'à lui, il croyais sentir le contact de chaque individu qu'il croyait passer alors que ceux ci ne bousculaient personne et ne passaient jamais près de lui. Il essayait de comprendre la vie des gens, du moins, en posant sur eux son regard, il imaginait à partir des traits de leur visage, leur vie. Et souvent, il croisait ces personnes usées par le temps et les imaginait comme des personnes aguerries qui ont appris a accepter la vie telle qu'elle est.
Il en était sur: il ne faisait qu'un avec la ville. Il n'avait même pas besoin de le penser car c'était comme une évidence pour lui. Il vivait, il était l’œil, l'oreille et la peau de la ville. Il ne pouvait pas être le nez car c'était devenu sa propre odeur. Ainsi, Colin vivait plus que jamais sans se souvenir de qui il est réellement. Et les passants croisaient un corps immobile, frémissant alors qu'il n'y avait pas de vent et parfois se déplaçant un peu, comme pour éviter une bousculade alors qu'elle n'eu jamais lieu, sans le voir vraiment.
Voilà, j'espère que ça te plait !
Tout d'abord, il entendait les hurlements des moteurs puis il essayait de distinguer tout ce qui l'entourait. Il essayait d'oublier qu'il attendait Chloé pour avoir l'air encore plus surpris lorsqu'il arrivait alors il se perdait dans ses pensées, laissait vagabonder son esprit et laissait son regard se promener à sa guise sur tout cet ensemble de chose qui l'entourait. Il était là, dans le décor, l'air vide et pourtant, étant attentif. Tout d'abord il entendait la circulation puis les pas des passants sur le macadam, les pas de talons d'une femme créant un rythme sur la place, les éclats de voix d'un homme, des rire d'enfants puis encore les voitures dont une qui démarre d'un coup sans tout de même bouleverser l'ordre, la synchronisation et l'harmonie de tout ces engrenages qui faisaient vivre la place. Puis à tous ces sons se superposaient les images, il perdait son regardait tout ce qui l'entourait puis se mettait a observer le seul décor qui variait vraiment: les passants, en les dévisageant sans les voir. Très vite, tout se confondait. Colin sentais qu'il faisait partie du décor, qu'il en faisait partie. Et ça lui plaisait car il avait l'impression que tout était plus grand. Il respirait avec la place et dans sa tête se superposaient les sons, les formes, les couleurs puis les sensations. Car Colin était devenu une partie intégrante du décor. Ce sentiment aiguisait ses sens. Il croyais sentir la fraîcheur de l'air sur sa peau alors qu'aucun coup de vent ne vint jusqu'à lui, il croyais sentir le contact de chaque individu qu'il croyait passer alors que ceux ci ne bousculaient personne et ne passaient jamais près de lui. Il essayait de comprendre la vie des gens, du moins, en posant sur eux son regard, il imaginait à partir des traits de leur visage, leur vie. Et souvent, il croisait ces personnes usées par le temps et les imaginait comme des personnes aguerries qui ont appris a accepter la vie telle qu'elle est.
Il en était sur: il ne faisait qu'un avec la ville. Il n'avait même pas besoin de le penser car c'était comme une évidence pour lui. Il vivait, il était l’œil, l'oreille et la peau de la ville. Il ne pouvait pas être le nez car c'était devenu sa propre odeur. Ainsi, Colin vivait plus que jamais sans se souvenir de qui il est réellement. Et les passants croisaient un corps immobile, frémissant alors qu'il n'y avait pas de vent et parfois se déplaçant un peu, comme pour éviter une bousculade alors qu'elle n'eu jamais lieu, sans le voir vraiment.
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