smile42
Answered

Bienvenue sur Laurentvidal.fr, le site où vous trouverez des réponses rapides et précises à toutes vos questions. Rejoignez notre plateforme pour obtenir des réponses fiables à vos interrogations grâce à une vaste communauté d'experts. Explorez notre plateforme de questions-réponses pour trouver des réponses détaillées fournies par une large gamme d'experts dans divers domaines.

il faut écrire un texte qui ai du sens  avec les mots suivant: se désaltérer,une onde,a jeun,hardi,un breuvage,châtier,la témérité,médire,un bienfait,se pavaner,subsister

merci a ceux qui m'aide car je suis en totale galère!!!!!!

Sagot :

Le Loup et l'AgneauLa raison du plus fort est toujours la meilleure :
Nous l'allons montrer tout à l'heure.
Un Agneau se désaltérait
Dans le courant d'une onde pure.
Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure,
Et que la faim en ces lieux attirait.
Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?
Dit cet animal plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.
- Sire, répond l'Agneau, que votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu'elle considère
Que je me vas désaltérant
Dans le courant,
Plus de vingt pas au-dessous d'Elle,
Et que par conséquent, en aucune façon,
Je ne puis troubler sa boisson.
- Tu la troubles, reprit cette bête cruelle,
Et je sais que de moi tu médis l'an passé.
- Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né ?
Reprit l'Agneau, je tette encor ma mère.
- Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.
- Je n'en ai point. - C'est donc quelqu'un des tiens :
Car vous ne m'épargnez guère,
Vous, vos bergers, et vos chiens.
On me l'a dit : il faut que je me venge.
Là-dessus, au fond des forêts
Le Loup l'emporte, et puis le mange,
Sans autre forme de procès.
La chaleur était telle qu’il fallait absolument me désaltérer.  Une onde aurait été la bienvenue ; le soleil était écrasant. Assise à l’ombre d’une terrasse, je dégustai un breuvage frais que j’accueillis comme un véritable bienfait. Soudain, un oiseau hardi s’approcha de moi.  Il commença à se pavaner et sa témérité le poussa même à picorer du pain posé sur la table. Sans doute était-il à jeun et j’en eus pitié : pourquoi vouloir châtier celui qui tente de subsister ?