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Sagot :
Intro : circonscrire la notion de bonheur. Succession de moments heureux ou état constant? Dans ce cas, utopie? Procède-t-il de la facilité ou de défis relevés avec succès? S'agit-il de plus que remplir les besoins primaires? Nous appartient-il de faire notre bonheur?
Débat :
- certains naissent dans des milieux défavorisé et pourtant capitalisent sur le peu qu'ils ont pour en tirer le meilleur parti. Ils arrivent à un équilibre et obtiennent le succès dans leurs projets, alors que d'autres naissent plus favorisés et ne font rien de leur capital de départ. Débat de l'inné et l'acquis qui pose la question de la résilience et l'aptitude au bonheur
- Dans certains pays en développement (exemple du Mexique), les gens se contentent de peu mais ne se plaignent pas. Il y a en revanche une cohésion sociale et un système d'entraide tel que finalement, ils sont plus heureux qu'en Occident, où l'on a tout et l'on veut toujours plus mais où l'on délaisse son voisin.
- Au regard des deux points précédents, il ne reste le choix que de devenir acteur de son bonheur. Comment expliquer que des personnes atteintes de lourd handicap y arrivent si ce n'est que par la force de la volonté?
Conclusion : Il nous appartient clairement de faire notre propre bonheur; chacun ayant ses critères. Mais songer à s'ouvrir aux autres et toujours tenter de faire du mieux qu l'on peut sans se décourager, n'est-ce pas déjà y accéder?
Débat :
- certains naissent dans des milieux défavorisé et pourtant capitalisent sur le peu qu'ils ont pour en tirer le meilleur parti. Ils arrivent à un équilibre et obtiennent le succès dans leurs projets, alors que d'autres naissent plus favorisés et ne font rien de leur capital de départ. Débat de l'inné et l'acquis qui pose la question de la résilience et l'aptitude au bonheur
- Dans certains pays en développement (exemple du Mexique), les gens se contentent de peu mais ne se plaignent pas. Il y a en revanche une cohésion sociale et un système d'entraide tel que finalement, ils sont plus heureux qu'en Occident, où l'on a tout et l'on veut toujours plus mais où l'on délaisse son voisin.
- Au regard des deux points précédents, il ne reste le choix que de devenir acteur de son bonheur. Comment expliquer que des personnes atteintes de lourd handicap y arrivent si ce n'est que par la force de la volonté?
Conclusion : Il nous appartient clairement de faire notre propre bonheur; chacun ayant ses critères. Mais songer à s'ouvrir aux autres et toujours tenter de faire du mieux qu l'on peut sans se décourager, n'est-ce pas déjà y accéder?
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