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Sagot :
Il n'est pas indiqué quand l'histoire doit débuter alors je la débute là :
le fils était installé sur le canapé, il attendait son père, le regard fixant la fenêtre.
le vent soufflait dehors, les feuilles volaient, les branches des arbres claquaient contre les vitres.C'était la tempête, comme dans la t^te de Corentin.La rage s'était emparée de lui. Il avait eu une grande discussion avec son père la veille au sujet de la guerre, cette guerre, cette pourriture de guerre qui avait déjà tué son grand-père et voilà que son père y allait aussi et puis qui d'autres?? son oncle??son frère, ses amis??
pas moi en tous cas, pas moi se disait Corentin, doucement .
Son père arriva avec son sac à dos ,près à quitter la maison;
- Alors fils, tu ne viens pas? tu es sûr de toi,?
Allez viens, viens attaquer, viens porter un bel uniforme de soldats, viens avec moi,porter un fusil, mater les ennemis, montrer que nous sommes supérieurs à eux, les filles aiment bien les uniformes, les guerriers, les hommes virils. Dit le père
- Jamais , tu m'entends jamais je ne partirais tuer des autres hommes, jamais je ne tuerais un être humain, papa, je te rappelle que je veux être pompiers,ça aussi c'est viril, sauver des vies, tel est mon objectif, comment pourrais-je te suivre ? Je suis désolé papa, désolé de ce qui arrive.Au revoir Papa, ne meurt pas.
Le père partit, tête basse;il n'avait pas pu convaincre son fils.Il devait partir attaquer l'autre pays.Mais , reverrait-il son fils bien aimé?
3 mois plus tard le fils recevait une lettre, où il y avait écrit :
Fils, si tu reçois cette lettre c'est que je serais mort, à la guerre, comme mon père .J'ai réfléchi à ce que tu m'as dit.
Cette guerre était elle nécessaire?guerre de religion?Ne pouvons-nous vivre sans vouloir se détruire mutuellement,? Les balles sifflent là près de moi, j'ai peur.Je crois que tu avais raison, on peut parler aux ennemis, essayez de faire la paix, baisser le fusil ,discuter.Mais là on tue, on mutile comme des machines, comme des robots, on lance des grenades. Mais maintenant c'est trop tard, fils, je t'ai aimé , toi et tes frères plus que moi-m^me.Tu es l’aîné, il n'ont plus que toi.
Protège tes frères, moi , je suis parti trop loin de vous, je le regrette.
Adieu.
Le fils pris la lettre , la lança dans les flammes de la cheminée et pleura.
Encore un mort pour rien.
le fils était installé sur le canapé, il attendait son père, le regard fixant la fenêtre.
le vent soufflait dehors, les feuilles volaient, les branches des arbres claquaient contre les vitres.C'était la tempête, comme dans la t^te de Corentin.La rage s'était emparée de lui. Il avait eu une grande discussion avec son père la veille au sujet de la guerre, cette guerre, cette pourriture de guerre qui avait déjà tué son grand-père et voilà que son père y allait aussi et puis qui d'autres?? son oncle??son frère, ses amis??
pas moi en tous cas, pas moi se disait Corentin, doucement .
Son père arriva avec son sac à dos ,près à quitter la maison;
- Alors fils, tu ne viens pas? tu es sûr de toi,?
Allez viens, viens attaquer, viens porter un bel uniforme de soldats, viens avec moi,porter un fusil, mater les ennemis, montrer que nous sommes supérieurs à eux, les filles aiment bien les uniformes, les guerriers, les hommes virils. Dit le père
- Jamais , tu m'entends jamais je ne partirais tuer des autres hommes, jamais je ne tuerais un être humain, papa, je te rappelle que je veux être pompiers,ça aussi c'est viril, sauver des vies, tel est mon objectif, comment pourrais-je te suivre ? Je suis désolé papa, désolé de ce qui arrive.Au revoir Papa, ne meurt pas.
Le père partit, tête basse;il n'avait pas pu convaincre son fils.Il devait partir attaquer l'autre pays.Mais , reverrait-il son fils bien aimé?
3 mois plus tard le fils recevait une lettre, où il y avait écrit :
Fils, si tu reçois cette lettre c'est que je serais mort, à la guerre, comme mon père .J'ai réfléchi à ce que tu m'as dit.
Cette guerre était elle nécessaire?guerre de religion?Ne pouvons-nous vivre sans vouloir se détruire mutuellement,? Les balles sifflent là près de moi, j'ai peur.Je crois que tu avais raison, on peut parler aux ennemis, essayez de faire la paix, baisser le fusil ,discuter.Mais là on tue, on mutile comme des machines, comme des robots, on lance des grenades. Mais maintenant c'est trop tard, fils, je t'ai aimé , toi et tes frères plus que moi-m^me.Tu es l’aîné, il n'ont plus que toi.
Protège tes frères, moi , je suis parti trop loin de vous, je le regrette.
Adieu.
Le fils pris la lettre , la lança dans les flammes de la cheminée et pleura.
Encore un mort pour rien.
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