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Sagot :
C'été l'été. La chaleur nous accablait, j'étais en vacances avec mes parents dans une petite ville de l’Hérault où les rivières sont nombreuses. J'avais l'habitude avec mes cousins de partir très tôt le matin pour aller nous rafraîchir dans les eaux claires. Elles étaient à l'abri d'énormes et hauts rochers qui bordaient le cours d'eau. Ces rocs étaient eux -mêmes reliés par un pont qui enjambait la rivière.
De là, on pouvait admirer, le courage des plongeurs qui avec des figures fantastiques se laissaient tomber jusque dans l'eau.
Je ne me lassais jamais de les regarder exhiber leur courage. Mes parents disaient que sans une bonne connaissance de ce sport il ne faudrait s'aventurer à les imiter.
J’acquiesçais car leurs sauts me donnaient des frissons même si mon admiration pour eux était sans limite.
Et puis n'y tenant plus, déjouant le regard de mes parents je décidais d'en faire autant.
Arrivé au bord du haut rocher, je constatais d'abord que les personnes en bas étaient toutes petites ce qui me donnait une estimation de la hauteur où je me trouvais et me confortait dans l'idée de sauter.
Je me pinçais le nez et dans un cri déchirant je sautais. Je ne sais pas combien de temps ce saut a duré, ni combien de temps je mis à remonter à la surface.
Mes parents parait-il, en entendant crier s'étaient tournés et reconnaissant la couleur de mon maillot de bain et ne me voyant plus auprès d'eux, n'ont mis que quelques secondes pour venir vers moi.
J'étais abasourdi par ce saut, je suffoquais et je m'évanouis. Les secours furent rapides, et à mon réveil je vis le visage de mes mon père et de ma mère en larmes.
Ils m’assommèrent de questions, de reproches. Je compris que non seulement je leur avais donné la peur de leur vie mais que c'était ma vie que j'avais mis en danger. Ni mes cousins ni personne ne me félicita de mon exploit et tous fut consignés à la maison avec l'ordre de ne plus en bouger. Certes si la punition était méritée, si je regrettais amèrement mon inconscience de cette expérience, j'ai gardé une phobie des hauteurs, et le vertige se rappelle à moi dès que je m'approche d'un précipice.
De là, on pouvait admirer, le courage des plongeurs qui avec des figures fantastiques se laissaient tomber jusque dans l'eau.
Je ne me lassais jamais de les regarder exhiber leur courage. Mes parents disaient que sans une bonne connaissance de ce sport il ne faudrait s'aventurer à les imiter.
J’acquiesçais car leurs sauts me donnaient des frissons même si mon admiration pour eux était sans limite.
Et puis n'y tenant plus, déjouant le regard de mes parents je décidais d'en faire autant.
Arrivé au bord du haut rocher, je constatais d'abord que les personnes en bas étaient toutes petites ce qui me donnait une estimation de la hauteur où je me trouvais et me confortait dans l'idée de sauter.
Je me pinçais le nez et dans un cri déchirant je sautais. Je ne sais pas combien de temps ce saut a duré, ni combien de temps je mis à remonter à la surface.
Mes parents parait-il, en entendant crier s'étaient tournés et reconnaissant la couleur de mon maillot de bain et ne me voyant plus auprès d'eux, n'ont mis que quelques secondes pour venir vers moi.
J'étais abasourdi par ce saut, je suffoquais et je m'évanouis. Les secours furent rapides, et à mon réveil je vis le visage de mes mon père et de ma mère en larmes.
Ils m’assommèrent de questions, de reproches. Je compris que non seulement je leur avais donné la peur de leur vie mais que c'était ma vie que j'avais mis en danger. Ni mes cousins ni personne ne me félicita de mon exploit et tous fut consignés à la maison avec l'ordre de ne plus en bouger. Certes si la punition était méritée, si je regrettais amèrement mon inconscience de cette expérience, j'ai gardé une phobie des hauteurs, et le vertige se rappelle à moi dès que je m'approche d'un précipice.
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