SVPPP JETTEZ AU MOINS UN COUP D'OEIL ICI ;( Bonsoir, help me svp, j'ai besoin d'aide svppp, c'est urgent, c'est pour demain. Donc je dois faire un genre de commentaire je pense, ou un genre de question de corpus, mais plus dans le commentaire composé, car j'ai une introduction à faire, et une conclusion, donc j'ai le plan, sauf que j'aimerais avoir ENORMEMENT d'aide de la part de quelqu'un, donc il s'agit d'un des poèmes de Baudelaire
Voici ce que je dois faire au plus vite, CE SOIR :
Problématique : Quelle image le poète donne t'il de lui même ?
Après le plan est comme ça :
I ; L'oiseau ( = poète ) ( = roi de l'azur)
A L'INTERIEUR DU GRAND I, il faut y avoir cela :
a) relevez le champ lexical du vol.
b) Les rythmes et les Sonorités.
c) Relevez tout le champ lexical de la supériorité. Et l'utilisation des périphrases.
DANS LE II ; L'oiseau plaquer au sol.
Dedans il y a :
a) tout les termes qui montrent l'oiseau captivé.
b) le language des marins sur l'oiseau.
c) Les figures D'oppositions.
d) L'explication de l'allegorie.
III = l'allégorie, moyen effficace, de paerler du poète dans la sociétié :
a) un etre à part.
b) la condannation à la souffrance.
c) une immage du poete romantique.
APRES JDOIS FAIRE UNE INTRODUCTION ET UNE CONCLUSION, sauf que jai jamais fais de commentaire composé, alors jai réellement besoinnnnnnnn d'aide, j'chui en stress, si je réussis pas ce devoir, sincèrement, HELP ME! c pour demain svppp
VOICI LE POEME :
Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!
Qui hante la tempête et se rit de l'archer;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.