Bonsoir Bonsoir :)
Je vous explique tout, il ce trouve que je doit préparée au brouillons un commentaire sur cette extrait mais je ne sais pas du tout comment m'y prendre... J'était malade pendant un bon moment et c'est pour ça que j'ai besoin de juste faire un bouillons pour mon professeur... Si par hasard une personne veut bien m'aider cela serrai super !
Merci beaucoup en avance
Oh! Comme elle était belle! Les plus grands peintres, lorsque, poursuivant dans le ciel la beauté
idéale, ils ont rapporté sur la terre le divin portrait de la Madone, n'approchent même pas de cette fabuleuse
réalité. Ni les vers du poète ni la palette du peintre n'en peuvent donner une idée. Elle était assez grande,
avec une taille et un port de déesse; ses cheveux, d'un blond doux, se séparaient sur le haut de sa tête et
coulaient sur ses tempes comme deux fleuves d'or; on aurait dit une reine avec son diadème; son front,
d'une blancheur bleuâtre et transparente, s'étendait large et serein sur les arcs de deux cils presque bruns,
singularité qui ajoutait encore à l'effet de prunelles vert de mer d'une vivacité et d'un éclat insoutenables.
Quels yeux! avec un éclair ils décidaient de la destinée d'un homme; ils avaient une vie, une limpidité, une
ardeur, une humidité brillante que je n'ai jamais vues à un oeil humain; il s'en échappait des rayons pareils à
des flèches et que je voyais distinctement aboutir à mon coeur. Je ne sais si la flamme qui les illuminait
venait du ciel ou de l'enfer, mais à coup sûr elle venait de l'un ou de l'autre. Cette femme était un ange ou
un démon, et peut-être tous les deux, elle ne sortait certainement pas du flanc d'Ève, la mère commune. Des
dents du plus bel orient scintillaient dans son rouge sourire, et de petites fossettes se creusaient à chaque
inflexion de sa bouche dans le satin rose de ses adorables joues. Pour son nez, il était d'une finesse et d'une
fierté toute royale, et décelait la plus noble origine. Des luisants d’agate jouaient sur la peau unie et lustrée
de ses épaules à demi découvertes, et des rangs de grosses perles blondes, d'un ton presque semblable à son
cou, lui descendaient sur la poitrine. De temps en temps elle redressait sa tête avec un mouvement onduleux
de couleuvre ou de paon qui se rengorge, et imprimait un léger frisson à la haute fraise brodée à jour qui
l'entourait comme un treillis d'argent.
Je vous explique tout, il ce trouve que je doit préparée au brouillons un commentaire sur cette extrait mais je ne sais pas du tout comment m'y prendre... J'était malade pendant un bon moment et c'est pour ça que j'ai besoin de juste faire un bouillons pour mon professeur... Si par hasard une personne veut bien m'aider cela serrai super !
Merci beaucoup en avance
idéale, ils ont rapporté sur la terre le divin portrait de la Madone, n'approchent même pas de cette fabuleuse
réalité. Ni les vers du poète ni la palette du peintre n'en peuvent donner une idée. Elle était assez grande,
avec une taille et un port de déesse; ses cheveux, d'un blond doux, se séparaient sur le haut de sa tête et
coulaient sur ses tempes comme deux fleuves d'or; on aurait dit une reine avec son diadème; son front,
d'une blancheur bleuâtre et transparente, s'étendait large et serein sur les arcs de deux cils presque bruns,
singularité qui ajoutait encore à l'effet de prunelles vert de mer d'une vivacité et d'un éclat insoutenables.
Quels yeux! avec un éclair ils décidaient de la destinée d'un homme; ils avaient une vie, une limpidité, une
ardeur, une humidité brillante que je n'ai jamais vues à un oeil humain; il s'en échappait des rayons pareils à
des flèches et que je voyais distinctement aboutir à mon coeur. Je ne sais si la flamme qui les illuminait
venait du ciel ou de l'enfer, mais à coup sûr elle venait de l'un ou de l'autre. Cette femme était un ange ou
un démon, et peut-être tous les deux, elle ne sortait certainement pas du flanc d'Ève, la mère commune. Des
dents du plus bel orient scintillaient dans son rouge sourire, et de petites fossettes se creusaient à chaque
inflexion de sa bouche dans le satin rose de ses adorables joues. Pour son nez, il était d'une finesse et d'une
fierté toute royale, et décelait la plus noble origine. Des luisants d’agate jouaient sur la peau unie et lustrée
de ses épaules à demi découvertes, et des rangs de grosses perles blondes, d'un ton presque semblable à son
cou, lui descendaient sur la poitrine. De temps en temps elle redressait sa tête avec un mouvement onduleux
de couleuvre ou de paon qui se rengorge, et imprimait un léger frisson à la haute fraise brodée à jour qui
l'entourait comme un treillis d'argent.