Le courant d'air dans mes cheveux me donnait la chaire de poule enfin c'est ce que je voulais croire. En effet tous ces portraits ne me rassuraient pas, j'avais beau me dire que ces personnes avaient vécues comme moi, je frissonnais à l'idée qu'ils puissent m'observer. Leurs regards ne semblaient pas figés, non leur yeux me suivaient.
Je devenais fou ou bien les fantômes existaient-ils vraiment? Le vent sifflait doucement et s'insinuait sous les lourdes portes. Allaient-elles s'ouvrir et ces personnes encadrées au mur allaient-elles se mettre à revivre. La peur me tiraillait et je décidais de paraître lâchen, et dans une fuite désordonnée je cherchais la sortie les jambes à mon cou.
