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Sagot :
voici une idée,
La femme du paysan regardait le gâteau qu’elle venait de sortir du four. Elle ferma les yeux et se pencha  sur son plat , huma la bonne odeur de son gâteau au chocolat. Rien qu’à sa senteur  elle savait qu’elle avait parfaitement rĂ©ussi sa pâtisserie. Elle y avait mis tout son  amour  n’ ayant pas bien agi envers Monsieur  le curĂ©, elle voulait que son plat soit parfait. Elle avait mal dormi se sentant coupable et elle avait lu le soir un magazine disant que le chocolat Ă©tait  parfait pour un gâteau mais aussi qu’il Ă©tait plein de magnĂ©sium. Alors en voyant son gâteau elle se dit qu’un peu de magnĂ©sium ne lui ferait pas de mal, d’ailleurs elle devait sĂ»rement en manquer .Elle prit donc un couteau en se disant qu’elle pouvait se permettre de prendre un peu de sa pâtisserie. Elle coupa une toute petite part  bien tranchĂ©e afin que Monsieur le curĂ© ne puisse pas le voir. Doucement , elle porta la portion vers sa bouche, l’odeur Ă©tait allĂ©chante. Elle commença Ă savourer la pâtisserie ,le chocolat Ă©tait exquis d’ailleurs elle avait choisi la meilleure marque. Le gâteau Ă©tait si parfait qu’il fondait dans sa bouche. Elle se dĂ©lectait. Vraiment c’était un supplice de regarder tout ce qu’il restait , de sentir son arome  et de ne pas encore en manger .Elle avait besoin de prendre des forces pour aller porter le reste du gâteau et s’excuser. Elle s’assit donc   à la table de la cuisine et elle reprit une nouvelle part, puis une autre encore et encore une autre sans pouvoir s’arrĂŞter tant le plaisir de dĂ©gustation Ă©tait vif .Elle sentait le chocolat descendre le long de son gosier. Elle Ă©tait aux anges.  Seulement au bout  d’une heure de dĂ©lectation, elle ne se  sentit pas très bien. Elle revint Ă la rĂ©alitĂ© elle avait mangĂ© tout le gâteau , elle partit se coucher avec des nausĂ©es et se promis d’en faire un autre demain pour Monsieur le curĂ©  mais sans y toucher cette fois.  Â
Ă plus.
La femme du paysan regardait le gâteau qu’elle venait de sortir du four. Elle ferma les yeux et se pencha  sur son plat , huma la bonne odeur de son gâteau au chocolat. Rien qu’à sa senteur  elle savait qu’elle avait parfaitement rĂ©ussi sa pâtisserie. Elle y avait mis tout son  amour  n’ ayant pas bien agi envers Monsieur  le curĂ©, elle voulait que son plat soit parfait. Elle avait mal dormi se sentant coupable et elle avait lu le soir un magazine disant que le chocolat Ă©tait  parfait pour un gâteau mais aussi qu’il Ă©tait plein de magnĂ©sium. Alors en voyant son gâteau elle se dit qu’un peu de magnĂ©sium ne lui ferait pas de mal, d’ailleurs elle devait sĂ»rement en manquer .Elle prit donc un couteau en se disant qu’elle pouvait se permettre de prendre un peu de sa pâtisserie. Elle coupa une toute petite part  bien tranchĂ©e afin que Monsieur le curĂ© ne puisse pas le voir. Doucement , elle porta la portion vers sa bouche, l’odeur Ă©tait allĂ©chante. Elle commença Ă savourer la pâtisserie ,le chocolat Ă©tait exquis d’ailleurs elle avait choisi la meilleure marque. Le gâteau Ă©tait si parfait qu’il fondait dans sa bouche. Elle se dĂ©lectait. Vraiment c’était un supplice de regarder tout ce qu’il restait , de sentir son arome  et de ne pas encore en manger .Elle avait besoin de prendre des forces pour aller porter le reste du gâteau et s’excuser. Elle s’assit donc   à la table de la cuisine et elle reprit une nouvelle part, puis une autre encore et encore une autre sans pouvoir s’arrĂŞter tant le plaisir de dĂ©gustation Ă©tait vif .Elle sentait le chocolat descendre le long de son gosier. Elle Ă©tait aux anges.  Seulement au bout  d’une heure de dĂ©lectation, elle ne se  sentit pas très bien. Elle revint Ă la rĂ©alitĂ© elle avait mangĂ© tout le gâteau , elle partit se coucher avec des nausĂ©es et se promis d’en faire un autre demain pour Monsieur le curĂ©  mais sans y toucher cette fois.  Â
Ă plus.
La femme du paysan sors le gâteau du four :Â
sa salive commence a couler quand elle voit le gâteau, elle ferma les yeux, croqua une petite boucher et commence a le humer,elle savoure le moëlleux, et laisse le tendre chocolat fondre dans sa bouche, cette douce creme exquise, et ce goût alléchant, elle ne peut resister à la tentation.
Bonne chance :)Â
sa salive commence a couler quand elle voit le gâteau, elle ferma les yeux, croqua une petite boucher et commence a le humer,elle savoure le moëlleux, et laisse le tendre chocolat fondre dans sa bouche, cette douce creme exquise, et ce goût alléchant, elle ne peut resister à la tentation.
Bonne chance :)Â
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