Un roi dans une lointaine contrée
Se reposait dans son château et se réjouissait
De la futur saison de récolte
Il n'aurait qu'a demandé des céréales pour qu'on lui en apporte
Mais un paysan pauvre vint le demander dans sa demeure
Et vint lui demander un prêt d'argent avant que ses plantations ne meurent
J'ai besoin de rasez certaines de mes terres malade, clamait-il
A ses propos, le roi ne bougea pas d'un cil
Et le fit repartir chez lui
Pour qui se prend-t-il, vais-je prêter à tout le royaume l'argent de mon repas ?
Personne ne répondit et la nuit tomba
Le mois suivant, des grandes bourrasque de vent soufflèrent sur le royaume
Et le virus d'abord innoffensif devient une menace fantôme
A la porte de son domicile, ce ne fut pas 1 mais des dizaines de fermiers
Qui accouraient, pour le prévenir que leur récolte de mais et blé
Etaient toutes malades et inmangeables
Le roi s'affola, sa nourriture avait était capturait par une maladie du diable
Il repensa alors au paysan venu un mois plutôt, il aurait du écouter son charabiat
Comme les aigles, les puissants de ce monde devrai voir au-delà de leur intéret immédiat.
Va2L
