Sagot :
1 Les cavaliers ne bougeaient pas.Un vertige les avait saisi.ils s'étaient peut-être trompés.
2.Le cavalier murmuraitque rien ne viendrait à bout de lui... que le soleil pourrait bien tuer tous les lézards des collines, qu'il tiendrait.
3.Je me rejetai en arrière, tandis qu'une masse de terre et de pièrres détachées se précipitait dans un trou qui venait de s'ouvrir au-dessus de l'ouverture que moi-même j'avais à faire; alors au fond de ce trou sombre et dont je ne pouvais mesurer la profondeur, je vis paraître une tête.
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