Obtenez des solutions à vos questions sur Laurentvidal.fr, la plateforme de questions-réponses la plus réactive et fiable. Découvrez des solutions fiables à vos questions grâce à un vaste réseau d'experts sur notre plateforme de questions-réponses complète. Expérimentez la commodité d'obtenir des réponses précises à vos questions grâce à une communauté dévouée de professionnels.

Bonjour à tous,

 

J'ai déjà posté cette rédaction sur le site, sauf que je pense que certaines personnes n'ont pas compris ce dont j'avais besoin ;) En fait j'ai terminé ma rédaction et j'aimerai que vous m'aidiez à transformer ma rédaction pour y ajouter 10 PROPOSITIONS SUBORDONNEES COMPLETIVES et m'aider à choisir une bonne fin pour ma rédaction. (Au passage, si vous voyez des fautes merci de me les dire).

 

Le magasin de chaussures ouvre à 8h heures pile. Du monde attend devant les portes depuis 6h du matin, essentiellement des femmes. Le crépuscule se fait encore sentir. Cela grogne dans la foule, les femmes s’impatientent. Le temps passe au ralenti, c’est interminable. On attend toutes le commencement, le début des festivités : les soldes !

            La bataille s’annonce et la devise du « chacun pour soi » va rapidement se vérifier devant le rayon des chaussures. Qui partira avec sa paire de chaussure préférée ? Et qui arrivera à repartir ? Voila les questions que tout le monde se pose. Le vendeur arrive, tenant les clés d’une main tremblante, tel un sésame qui nous ouvre la caverne d’Ali Baba. Il sait qu’il va bientôt déverrouiller la cage aux lions ou plutôt celle des lionnes et on peut voir de la sueur qui perle sur son front. Les portes s’ouvrent et les panthères sautent sur leur proies : escarpins, bottines, ballerines… Tout est sens dessus dessous ! A genoux, une femme guette l’horizon. Elle s’approche avec beaucoup de précautions d’une proie choisie à l’avance. Sa marche est prudente et silencieuse. Alors qu’elle s’appuie sur ses pattes postérieures pour se jeter sur sa victime ; une traitresse ose les attraper avant elle et s’enfuie vers les caisses. La première femme se met à la poursuite de la détentrice de ses escarpins noirs, ne voulant pas la laisser réaliser cet acte impensable : elle la provoque donc en duel. Après le rugissement de la provocatrice, tout le monde se met en cercle autour des deux combattantes. Immédiatement un grand calme s’installe et tout le monde regarde le combat. La combattante avec les escarpins pousse un grognement de rage. Mais l’attaquante n’a pas peur, elle sort ses griffes et défie du regard son adversaire. Les deux jeunes femmes tournent à l’intérieur du rond évitant un contact physique. Je vois en elles la rage d’une lionne affamée. Mais le calme se rompt,  la première femme bondit sur son adversaire l’obligeant à s’affaler sur le sol. Cependant, l’autre ne se laisse pas faire et commence à rentrer ses griffes dans la peau de sa rivale et en laisse une trace. Immédiatement, les deux se relèvent succinctement. La première combattante prend du recul puis fonce sur sa rivale qui se pousse pour l’éviter ce qui la contraint à se cogner contre le mur. Alors que son adversaire déséquilibré essaie toujours de se relever, la demoiselle attrape les escarpins et file à la caisse, laissant derrière elle les séquelles de son combat.

            Après la fin de ce combat, la guerre reprend avec un rythme soutenu. Les femmes sont de plus en plus déchainées, cela tiraille dans tous les coins. Une femme chute en voulant attraper une boîte à chaussure trop haute pour elle, mais personne ne l’aide à se relever et n’hésite pas à lui piquer sa paire de chaussure. Dans ce magasin, personne ne s’entraide, tout le monde est solitaire. Chacune a marqué son territoire et si on ose s’y aventurer, un combat violent nous attend.

            L’atmosphère est pesante. Deux heures se sont écoulées et les femmes sont toujours aussi sauvages. Une fois, qu’une femme a attrapé sa proie, elle court la mettre dans un endroit sûr avant d’aller en chercher une autre, elle évite de se faire repérer.

            Les employés du magasin se cachent derrière les caisses, ils évitent eux aussi de se faire dévorer. Une fois lancées, les femmes ne peuvent s’arrêter.

Sagot :

Je te donne quelque exemple de propositions subordonnées complétives:depuis ,après ,ensuite,au début,pour finir,auparavant,comme,etc............Et tu le place ou ca te semble le plus juste.

 

J'espère t'avcoir aider :)

Elofcn

Bonjour, j'ai remarqué une faute sur votre copie:

- Tout es sans deçu dessous

 

Je vous donne une hypothèse:

 

Elles continuèrent toujours aussi sauvages et soudain un homme aussi bau qu'un dieu pénétra dans le magasin

 

Nous apprécions votre temps. Revenez quand vous voulez pour les informations les plus récentes et des réponses à vos questions. Nous espérons que cela vous a été utile. Revenez quand vous voulez pour obtenir plus d'informations ou des réponses à vos questions. Visitez Laurentvidal.fr pour obtenir de nouvelles et fiables réponses de nos experts.