Sagot :
J'étais au bas du perron, , raide, et indignée je leur dis "Vous n'avez pas entendu la cloche? -
Quelle cloche?" répondit mon mari d'un air innocent . J' haussai les épaules. Il n'y a qu'une
cloche dans le pays lui répondis-je la nôtre. Et j'ajoutais :Voilà trois fois que je fais sonner à toute volée. Le
comte Soledot est venu vous voir.Vous savez pourquoi...Il s'agit de ce poste de conseiller, qui vous revient de droit.
-Mais je n'en veux pas ! cria mon mari vous savez bien, vous aussi que je n'en veux pas!
-Ceci est une autre question.répondis-je en attendant, je ne peux croire qu'aucun d'entre vous
n'ait entendu la cloche
. -Nous avons dépassé le vallon des Orfres, dit mon fils
-Toi, je ne te demande rien, mon garçon ! répliquais je, son avis ne m'interessait absolument
pas ,j'en profitais pour lui dire mes pensées:- je me doute bien que vous avez tout fait pour
détourner l'attention de votre père.et je rajoutais - tu n'iras pas à la chasse la
prochaine fois."
alors se produisit un événement considérable.Mon mari osa se camper devant moi ,avec les
veines de son cou qui se gonflaient et le tonnerre de Dieu lui sortit de la bouche .IL se permis
de me dire "Non, mais, Paule ! Est-ce que tu vas nous foutre la paix,oui ! -
J'étais pétrifiée, Vous dites ? répondis -je médusée. Mon mai ne se controlait plus.
Il ajouta: je dis que tu nous casses les oreilles. Laisse ces enfants tranquilles et fous
moi le camp dans ta chambre.
voilà mon idée.A plus;